Paypite, la monnaie des francophones - Livre Blanc
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@cryptosceptique Bonsoir,
Frédérique est toujours avec nous rassurez-vous (bien qu’en vacances pour quelques jours), nous avons cependant pensé qu’il serait pertinent que je vienne commenter notre Livre Blanc moi-même à l’occasion de sa publication
Pour répondre à vos questions :
- Notre objectif à terme est une moyenne d’environ 1 000 bureaux de change par pays (ça prendra quelques années…)
- Les bureaux de change étant indépendants (ce ne sont pas des filiales de la société Interpay), ils s’occupent eux-mêmes de leur sécurité et de leurs problématiques de cash. Ceux avec qui nous travaillons aujourd’hui sont d’ailleurs des bureaux de change agréés qui exercent leur activité depuis plusieurs années (en changeant des USD, EUR, etc.), ils sont donc déjà expérimentés dans la gestion du cash
- Le coût d’ouverture des bureaux de change pour nous est surtout un coût de démarchage (commercial), puisque notre rôle est de convaincre un maximum de bureaux existants de rejoindre l’écosystème Paypite
- Nous n’explicitons effectivement ni sur la feuille de route ni dans le Livre Blanc le calendrier d’ouverture des bureaux de change. Nous pourrions le rajouter mais cela dépendra en fait en grande partie de l’évolution de la réglementation sur les cryptomonnaies en France et ailleurs ; toute estimation serait donc purement hypothétique et serait sujette à accélération ou à ralentissement en fonction des évolutions réglementaires (ex : le Maroc a interdit l’usage des cryptomonnaies)
- Concernant les frais de transaction (qui sont en fait des commissions de change dans notre écosystème), je pense effectivement qu’à long terme (dans une dizaine d’année) nous pourrons atteindre des coûts de 1% pour un transfert de bout en bout (avec récupération en cash). A court terme je pense qu’un coût de 2 à 3% est atteignable sur la plupart des pays (soit 3 à 4 fois moins cher que Western Union). Tout en permettant aux bureaux d’être viables économiquement.
- Wirex et quelques autres constituent des concurrents sérieux, même s’ils comportent encore plusieurs points faibles, que nous suivons avec beaucoup d’attention. Leur projet se limite cependant au transfert d’argent, alors que celui-ci ne constitue qu’une première étape dans notre projet. En effet, notre vision est l’adoption de la paypite comme monnaie d’échange et de paiement dans le monde francophone (bien plus que du transfert d’argent donc).
- Concernant le paiement chez les commerçants, nous avons signé un contrat avec une plateforme de commerce en ligne à Madagascar (pour pouvoir payer en paypites), mais l’intégration technique est encore en cours. Nous comptons lancer des campagnes publicitaires une fois que le système sera opérationnel et testé
- Pour le paiement par SMS et smartphone, considérant que les portefeuilles mobiles à Madagascar facturent des frais supérieurs à 1% pour récupérer l’argent (ou pour le transférer), notre taux de de 1% est en fait très compétitif
- La fonctionnalité de revente est en effet essentielle dans l’ensemble de notre dispositif et constitue une de nos priorités de développement
- Nous parlons de paiement pour tout type de montant, mais bien entendu les paiements de plusieurs centaines de milliers d’euros ou plus ne peuvent pas encore être faits en paypite, il faudra attendre que la monnaie devienne un peu plus mature et que son usage se diffuse progressivement
- Pour les grosses transactions (à moyen terme), le paiement en paypite fait sens puisque l’argent peut ensuite être utilisé pour des paiements plus petits (salariés, achats de fournitures,…). Autant tout payer dans une même monnaie plutôt que de jongler entre bitcoin, ether, paypite,…
- Pour les bureaux de change, déjà ils permettent non seulement de vendre leurs paypites mais aussi d’en acheter – ce que ne permettra pas la carte de paiement Paypite. Ensuite, il ne faut pas croire que l’adoption de la carte de paiement sera rapide : pour tout type de raisons, beaucoup de gens n’ont pas envie d’avoir une carte de paiement (et pas seulement à Madagascar : c’est le cas des Allemands aussi, si l’on prend un exemple non francophone mais voisin de la France)
- Il ne faut pas croire que les cartes permettent de supprimer les frais : les retraits par carte de paiement en distributeurs coûtent cher, et selon les montants le coût peut-être plus élevé que le coût d’un retrait en bureau de change…
- Au niveau juridique, nous pensons qu’au vu de notre activité qui apporte globalement des devises aux pays qui en ont besoin, tout en diminuant les coûts de transaction, les autorité de régulation du Sénégal etc. ont plutôt intérêt à nous aider. Ce ne sont pas elles qui vont nous reprocher de diminuer les profits de grosses sociétés américaines comme Western Union et d’augmenter (par conséquent) les montants reçus par leurs économies.
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@fab87 Merci pour ces suggestions.
Concernant le prix de la paypite lors d’un transfert, vous soulevez un point très important pour la réussite du projet : nous garantissons en effet (c’est un service additionnel) le cours des paypites pendant 14 jours après l’achat, s’il est fait en vue d’un transfert et que le destinataire les revend sous 14 jours.
Ce service additionnel est également une raison pour laquelle nous avons besoin d’utiliser notre propre cryptomonnaie, car nous ne pourrions pas offrir un telle garantie de cours en passant par le bitcoin par exemple (car nous n’aurions pas les réserves de bitcoin suffisantes nous permettant d’agir comme grossiste auprès des bureaux de change).
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@cryptosceptique Bonsoir,
Glob-Coin est un wallet qui offre une carte de paiement Mastercard, comme indiqué sur leur site :
La discussion avec eux en est justement au niveau d’obtenir l’accord de Mastercard pour intégrer Paypite dans le wallet (négociation en cours).
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@vincentjacques
Merci pour ces précisions.
Ce service additionnel très intéressant est un argument non négligeable, qui pourrait être précisé dans le livre blanc. -
Merci pour ces réponses claires nettes et précises.
Pourquoi ne mettez vous pas en place comme 90% des crypto monnaies, un airdrop, montant de paypite gratuites à distribuées à définir pour faire une campagne de pub sur twitter, facebook, telegram etc ?
Et ainsi faire connaitre votre crypto monnaie à un max de francophone à moindre frais?
Avec par exemple une vente de paypite liée à l’aidrop en 3 étapes.
Etape 1: - 50 % du 1er juin au 15 juin
Etape 2: - 20% du 1er juillet au 15 juillet
Etape3: - 10 % du 1er aout au 15 aoutLes modalités et les dates ne sont que purement fictives, je vous laisse voir les détails d’un airdrop avec un professionnel de la chose
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Denière News :
Le service d’achat en espèces et d’envoi de paypites à Paris sera bientôt disponible chez leur partenaire :
KARAS Market
53 Rue du Faubourg Saint-Martin
75010 Paris -
@cryptosceptique bonsoir… je ne sais pas si mon image à été posté…
pour etre plus précis 17 euros par mois c’était en moyenne. des retraits fait de Monaco , luxembourg, Andorre était facturé pratiquement 4euros dans les stations essence je ne sais toujours pas pourquoi.Et je ne vous parle pas des distributeur LA POSTE qui ne la reconnaissait pas. Lorsque ma carte n’à plus fonctionné j’ai cru à un piratage. lorsque je leur ai envoyé des mails ceux ci ne m’ont envoyé une réponse pour me dire que j’étais sur une liste d’attente mais que je pouvais disposer de mes bitcoins si je le voulais. Du coup en panique j’ai tout récupéré de peur de tout perdre. -
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@cryptosceptique Bonjour, faire un airdrop est une très bonne idée ! Nous y pensons depuis un moment en fait, mais par simple manque de temps nous ne l’avons pas encore fait. Nous allons en rediscuter avec Frédérique et Caroline pour avancer sur ce sujet.
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@montecrypto Merci d’avoir posté cette grille tarifaire !
D’après celle-ci, Wirex facture donc 2.75 € pour un retrait d’argent à l’international (ex : Madagascar), et j’imagine qu’il faut compter environ 5% de frais de change facturés par le système bancaire entre l’euro et l’ariary (c’est ce que je constate quand j’utilise ma carte à Madagascar). Pour un envoi de 100 € on est donc à un coût de 2.75 + 5 = 7.75 € soit 7.75 % -> Wirex est beaucoup plus cher que Paypite et ses bureaux de change (qui ne coûtent que 2% tout compris).
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@vincentjacques a dit dans Paypite, la monnaie des francophones - Livre Blanc :
“Il faut cependant noter que, au vu des nombreuses recherches menées actuellement autour de la blockchain, il y a peu de doute que l’état de l’art évoluera dans la direction dont nous avons besoin et que des solutions seront bientôt disponibles, dont certaines en accès libre (open source). Aussi, la dimension purement technique du projet nous paraît-elle moins cruciale à court terme pour sa réussite et son adoption massive, que les dimensions économiques et sociales qui sont au cœur du projet Paypite.”
Bonjour,
Une autre question donc, étant moi-même très impliqué dans l’open source, est-ce que vous comptez créer des bounties et/ou donner un peu d’argent aux projets dont vous pourriez vous servir ? Les sociétés qui utilisent des projets open source ne réalisent pas qu’en “sponsorisant” certains projets, elles permettent à des développeurs de se consacrer pleinement à leurs projets et que la relation devient win/win pour tout le monde.
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@cryptopocky Si nous en avons les moyens, ce sera effectivement tout à fait envisageable !
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@nakhom a dit dans Paypite, la monnaie des francophones - Livre Blanc :
@vincentjacques a dit dans Paypite, la monnaie des francophones - Livre Blanc :
@nakhom Nous avons répondu à ce point dans le Livre Blanc à la rubrique 5.1 :
"Un facteur clé de succès d’une monnaie commune est qu’elle soit principalement utilisée par les acteurs économiques de la zone visée, en l’occurrence les pays francophones (qui regroupent la majorité des francophones). Si les francophones se mettaient à utiliser une cryptomonnaie purement globale comme le bitcoin, ou une autre cryptomonnaie qui serait fortement utilisée par exemple par le monde hispanophone ou par les pays asiatiques, alors cela instaurerait une dépendance de fait des pays francophones vis-à-vis des utilisateurs majoritaires de cette monnaie (monde hispanophone, pays asiatiques, etc.).
Non sens. On se contrefiche de la langue de tel ou tel utilisateur. Encore une fois, vous faites peser le levier " francophone" et communautaire en appauvrissant le concept, lui vraiment révolutionnaire, des vraies crypto-monnaies, à savoir l’internationalisme. Alors oui, la francophonie est vaste, et au moins, vous ne flattez pas “trop” un nationalisme malodorant, comme on l’a déjà vu ici, sur un autre projet. Mais vous n’apportez absolument rien qui n’existe déjà. Votre unique argument, comparé aux “vraies” cryptos existantes, c’est la langue. Et c’est moche…
Alors, soyons fous, et imaginons que votre projet atteigne une certaine visibilité, les PITs seront utilisées, elles, par des francophones. Quid des hispanophones, des anglophones, des asiatiques ? Vous avez créé votre niche, et vous vous sentez bien dans votre trou ?
Désolé, mais votre démarche ne mène nulle part…
Cette dépendance de fait ne serait pas satisfaisante car elle ne permettrait pas à cette monnaie de servir les intérêts économiques des pays francophones. Les fluctuations de cette monnaie seraient subies par les francophones et liées à des facteurs externes, alors qu’il est au contraire souhaitable que cette monnaie fluctue en fonction des économies des pays francophones. Il nous semble donc nécessaire d’introduire une nouvelle cryptomonnaie, qui sera principalement utilisée par les économies francophones, et dont l’évolution sera, on peut l’espérer, dictée par les besoins et les conditions économiques des pays francophones. Cette monnaie doit être au service des francophones, et non pas l’inverse."
Niche. Communautarisme. Enclavement. Isolationnisme. Protectionnisme. Je [re]commence à fleurer de désagréables concepts, à votre endroit…
En outre, vous citez le BTC et le LTC, mais ces cryptomonnaies sont loin d’avoir la scalabilité nécessaire à une monnaie qui sera utilisée quotidiennement par un nombre significatif de francophones dans le monde. Aussi, outre l’aspect macro-économique cité ci-dessus, ces monnaies ne sont pas des options viables pour notre projet.
C’est avoir une maigre connaissance des cryptos, que de dire ça à propos justement de ces cryptos susmentionnées. Étant encore à quelques années d’une adoption massive et globale, ne croyez-vous pas que le BTC, avec l’équipe de dingue qui le développe, aura mis en place, et c’est déjà le cas en partie, avec le Lightning Network, des solutions viables ?
Par ailleurs, nous ne souhaitons pas que l’univers des crypto soit exclusivement anglophone. En privilégiant l’anglais, vous participez à la domination des Etats-Unis sur le monde, alors que de notre côté nous défendons une vision multipolaire du monde où la langue française, entre autres, doit avoir toute sa place.
PWAH ! Bon allez, j’aurais résisté 5 minutes… Mais c’est du grand n’importe quoi… La langue anglaise n’a rien à voir avec les USA. Raccourcis peu amènes pour un argumentaire finalement au ras des pâquerettes. TECH-NO-LO-GIE ! Elle est où, votre contribution ?
Et je rejoins @houbiwan et @Arno sur les techniques de propagande du début du topic, ça ressemble fortement à un dialogue entre community managers, innocent et candide. Pourquoi n’ouvrez-vous donc pas un blog, pour votre communauté fermée, comme ça, tous les aficionados [désolé, ce n’est pas du français] pourraient s’auto-congratuler, et se donner d’amicales tapes dans le dos ?
Ah ! Je sais… 29M€… C’est vrai qu’il va falloir en convaincre, des gens, pour qu’on vous file cette somme…
@nakhom
Dogme sur dogme, tu parles au nom de tout le monde… avec un avis systématiquement vindicatif… ca suinte la mécanique ‘(“intellectuelle”)’ MélanchonisteAutrement, Je trouve les réponses du fondateur de Paypite relativement bien étoffées, et plutôt pragmatique… Ca se tient tout ça, à première vue.
PS : je suis aucunement de l’équipe de Paypite hein !
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@djoe a dit dans Paypite, la monnaie des francophones - Livre Blanc :
ca suinte la mécanique ‘(“intellectuelle”)’ Mélanchoniste
Si ça te rassure, n’hésite pas…
Autrement, Je trouve les réponses du fondateur de Paypite relativement bien étoffées, et plutôt pragmatique… Ca se tient tout ça, à première vue.
Ah… Justement, puisqu’on en parle encore, j’avais posé quelques questions toujours restées sans réponse… Par exemple, pour quelle raison ne peut-on pas acheter de BTC, à Madagascar ? Quelques-un avançaient l’argument du manque d’accès à internet, et comme j’ai longtemps vécu dans des pays au niveau de vie très semblable à Madagascar, de surcroit il y a quelques années, et que j’ai toujours vu des accès à internet partout, je me demande pour quelle espèce de raison ne pourrait-on pas y acheter de BTC… En 2018…
@drapostyle-drapostyle a dit dans Paypite, la monnaie des francophones - Livre Blanc :
@nakhom .non rien de nouveau le Pit en soit.
Comme @Drapostyle-Drapostyle j’en conclus aussi que PIT n’est qu’une opération marketing, un joli sticker collé sur une techno existante, un peu comme si j’avais une voiture Renault, et que je lui mettais un macaron Tesla. Après tout, c’est un véhicule à 4 roues, donc c’est une voiture, et comme Tesla est une voiture, ma Renault est une Tesla. CQFD…
Un peu de sérieux… Quand le fondateur qui s’engage à sécuriser les avoirs d’éventuels utilisateurs de PIT, dit que la technologie n’est pas aussi importante que le marketing, il est grand temps d’ouvrir les yeux.
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Les investisseurs devraient tous regarder ce genre d’article , posté il ya quelques jours , pour comprendre pourquoi notre coté sceptique , quels sont les questions à se poser etc
https://cryptoast.fr/ico-mieux-comprendre-le-phenomene-pour-ne-pas-se-laisser-tromper/
Je remarque aussi que beaucoup de questions technique de @nakhom reste sans réponse, j’aime beaucoup l’image de la voiture à la fin, c’est exactement ça pour le moment.
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@nakhom
Bonsoir,
Les malgaches peuvent très bien acheter des bitcoins, à condition est qu’ils aient un compte bancaire.
Pour ce qui du côté technique, la blockchain actuelle Paypite est transitoire et le choix d’utiliser ethereum en premier lieu permet d’eviter à devoir réinventer la roue. -
@fab87 a dit dans Paypite, la monnaie des francophones - Livre Blanc :
Les malgaches peuvent très bien acheter des bitcoins, à condition est qu’ils aient un compte bancaire.
Il existe bien des échanges OTC, comme LocalBitcoin. En quoi ça les empêche d’en acheter avec du liquide ? Ça s’appelle juste un comptoir…
Pour ce qui du côté technique, la blockchain actuelle Paypite est transitoire et le choix d’utiliser ethereum en premier lieu permet d’eviter à devoir réinventer la roue.
Transitoire, OK, mais pour autant sécurisée, ou c’est juste pour précipiter le lancement ? Pourquoi ne pas attendre d’avoir sa propre BC ? Qui sont les devs qui y travaillent ?
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@nakhom
Inconvénients de localbitcoin : Le coût est plus élevé que sur d’autres plateformes – en particulier lorsque l’on souhaite commander des Bitcoins en espèces ou avec PayPalSi Paypite n’as pas attendu pour créer leur propre blockchain, c’est que la plateforme Ethereum devait leur suffire pour développer leurs premières applications.
De mon point de vue, c’est ensuite, lorsque leur offre s’ettoffera, qu’il pourra être judicieux d’avoir sa propre BC. -
@fab87 - Le coût plus élevé de LocalBitcoin est dû, en Europe, au manque de concurrence. On peut facilement imaginer une concurrence beaucoup plus forte, dans un pays avec un système plus souple, ce qui amène nécessairement à un nivellement des prix.
Non, désolé, je ne vois toujours pas de nécessité à PIT, quand il existe déjà des cryptos sérieuses, connues et reconnues, actives dans leur développement et proposant, en plus des applications multilingues [exit l’argument francophone], un réseau sécurisé.
Ce qui m’inquiète, en revanche, c’est la facilité avec laquelle ce genre de projet se lance, en misant sur un joli logo et des goodies… On parle de confier son argent, c’est une préoccupation assez sérieuse pour ne pas se résoudre à le donner à n’importe qui, sous prétexte qu’on a vu un sticker dans un 7/11.
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@nakhom
Malheureusement à l’heure actuelle, les fluctuations importantes des cours des crytpos connues restent un véritable handicap majeur à leur adoption à un plus large public en terme d’utilisation réelle (hors trading).